Bernard Feltz (philosophe, Centre de philosophie des sciences et sociétés, UCL) expose sa vision du lien de l’écologie à la modernité. L’écologie doit se rendre capable d’intégrer les points forts de la modernité, comme l’humanisme, la démocratie ou la science, tout en prenant acte des limites du paradigme moderne, sur le plan écologique notamment. C’est à partir de la modernité et non pas à son encontre que doivent s’articuler les discours écologistes. En référence à Habermas, Bernard Feltz invoque l’exercice de multiples formes de rationalité, permettant une valorisation forte mais non exclusive du discours scientifique.
Charlotte Luyckx (philosophe, Centre de philosophie des sciences et sociétés, UCL) présente, sur base des exposés du GRICE de l’année écoulée, une série de constats qui peuvent constituer un socle commun d’idées (socle soumis à la discussion). Elle propose également deux axes de recherche pour le GRICE 2015-2016 : le lien entre énergie et écologie et le lien entre écologie et religions/spiritualités.
Bernard Feltz (philosophe, Centre de philosophie des sciences et sociétés, UCL) expose sa vision du lien de l’écologie à la modernité. L’écologie doit se rendre capable d’intégrer les points forts de la modernité, comme l’humanisme, la démocratie ou la science, tout en prenant acte des limites du paradigme moderne, sur le plan écologique notamment. C’est à partir de la modernité et non pas à son encontre que doivent s’articuler les discours écologistes. En référence à Habermas, Bernard Feltz invoque l’exercice de multiples formes de rationalité, permettant une valorisation forte mais non exclusive du discours scientifique.
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